Pascal Robaglia est une personne possédant de nombreuses facettes. Devenu le père de deux gamins, il a vu le jour le 27 février 1955 dans la ville parisienne et a suivi plein d’aventures. Il a commencé sa carrière dans le secteur de l’export en parfumerie, il adhère dans de grandes entreprises comme l’Oréal. Son entrée dans la vente de l’art lui a permis de devenir galeriste.
Un véritable sportif
La pratique du sport est considérée comme une facette cachée de la vie de Pascal Robaglia. Tenant une galerie d’art dans le passé, le sportif est doué dans plusieurs disciplines. Il excelle principalement dans des sports extrêmes tels que la plongée sous-marine ou le ski. La plongée ne se limite pas à un simple passe-temps car l’artiste possède de nombreux brevets sur ce sport. Réalisant 320 plongées, il a obtenu une validation des brevets Padi « Requins » et « Advanced ». France 2 lui a même fait appel dans un numéro d’Envoyé Spécial dont le sujet s’intitule « guide avec son client ». Mais pour faire des plongées, il s’est dit que la maîtrise des déplacements sur l’eau est importante.
Un intérêt pour la montagne
Pascal n’est pas seulement un amateur d’eau mais de la montagne également. Étant déjà membre du ski-club de l’ESSEC, il a longtemps fait du ski dans son plus jeune âge. À partir de ce moment, son intérêt pour la montagne ne cesse de se développer. Il a de plus obtenu une importante formation de montagnard afin de pouvoir accomplir une dangereuse montée du Mont-Blanc. C’est une prouesse personnelle qui explique son caractère aventurier, son intérêt pour le sport et son aptitude à donner son maximum.
Une série d’exercices pour la montée du Mont-Blanc
L’ascension du Mont-Blanc est compliquée même si elle paraît simple. Plusieurs personnes décèdent annuellement. Afin de monter cette montagne, Pascal Robaglia, sportif depuis son plus jeune âge, a dû faire beaucoup de préparations. Pour bien répondre à la question, l’ancien galeriste propose certaines directives. Une condition physique optimale constitue le conseil le plus important. Il faut beaucoup d’endurance pour escalader le Mont-Blanc. La préparation à l’avance est ainsi nécessaire. Cette ascension équivaut à 6 mois de course de vélo ou à pied, faite régulièrement et de façon cadencée.